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L'enquête « Espaces de vie scolaire » (ou 3C) : ne soyons pas dupes !

Mi-novembre, des collègues professeurs-documentalistes, des CPE et des chefs d'établissements reçoivent de leur inspection une invitation à répondre à une enquête intitulée « Espaces de vie scolaire / Espace de travail » dirigée par le laboratoire EMA de l'université de Cergy-Pontoise. Ce laboratoire EMA (Ecole, Mutations, Apprentissages) est dirigé par Béatrice Mabilon-Bonfils. Le nom de cette chercheuse figure en effet sur la page introductive du document, mais attaché au laboratoire et non à l'enquête elle-même. Enquête sur une enquête...

En revanche, aucune information n'est donnée pour connaître qui la dirige ni quels travaux universitaires elle sert. Les objectifs de recherche ne sont pas précisés, hormis cette simple amorce de justification : « recueillir votre avis sur ces espaces tels que vous les vivez ainsi que votre vision de ce qui pourrait être amélioré. » A première vue, deux objets d'étude apparaissent. Le premier est donné par le titre même « Espaces de vie scolaire / Espace de travail » ; le second est l'articulation autour de ce premier objet des CPE et des professeurs documentalistes. En guise d'argumentaire à l'enquête, les auteurs ont copié-collé et rapproché deux extraits de textes réglementaires mentionnant ces espaces et ces personnels. Le premier extrait est tiré de la circulaire du 10 août 2015 relatif aux « Missions des conseillers principaux d'éducation », tandis que le second provient de l'arrêté du 1er juillet 2013 relatif aux « compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation », et plus précisément à la partie intéressant les professeurs documentalistes. L'extrait choisi est pris dans l'axe 2 relatif à la politique documentaire et plus particulièrement la compétence D3 concernant la responsabilité du « centre de ressources ». Ces deux extraits pointent en effet l'organisation des «  espaces et des temps de la vie scolaire » s'agissant des CPE, et « la complémentarité des espaces de travail » pour les professeurs documentalistes. Il est ainsi aisé de reconnaître dans cette entreprise une volonté de rouvrir le dossier que l'on croyait fermé des 3 C (« centre de connaissance et de culture »), projet initié, rappelons-nous, par l'ex-inspecteur général de la vie scolaire Jean-Louis Durpaire, aujourd'hui retraité.

Le document produit à l'époque – c'était en 2012 - par la DGESCO dans la collection Vademecum, « Vers des centres de connaissances et de culture », est d'ailleurs cité dans le questionnaire (Q 3.4). Le « 3C » fait par ailleurs explicitement l'objet de deux autres questions. Cette volonté acharnée de transformer les CDI en 3C, bien que fortement contestée par la profession et ignorée du reste de l'institution comme des acteurs des établissements, avait donné lieu à l'ESEN en mars 2011 à un séminaire inscrit au plan national de formation, « Du CDI au learning centre ». En 2012, paraissait un ouvrage dédié au 3C sous le titre « Guide TICE pour le professeur-documentaliste : enjeux numériques », préfacé par Jean-Louis Durpaire et coordonné par Jean-Pierre Véran et Denis Tuchais. Nous devons déjà à ces auteurs, outre le « Vademecum 3C », le PACIFI (2010) et, au dernier particulièrement, le transversal référentiel EMI publié en septembre dernier par le CSP. Cette convergence rédactionnelle ne peut que renforcer l'impression d'une cohérence étroite entre ces différents projets.   Revenons à l'enquête. Celle-ci se présente sous la forme d'un questionnaire constituée de 48 questions dont les cinq dernières cherchent à catégoriser le répondant (type et taille de l'établissement, privé/public, fonction, académie). A la lecture des 43 questions posées pour recueillir notre avis, il apparaît évident que nous avons là affaire à une enquête de confirmation d'un postulat bien établi selon lequel la mutation des espaces scolaires doit faire évoluer les espaces documentaires (CDI), les salles d'étude, les salles multimédias et le foyer des élèves vers un ensemble intégré s'apparentant au 3C. Les questions sont tellement orientées et les choix de réponses tellement calibrés que, quels que soient les résultats enregistrés, il apparaîtra évident que 100% des répondants souhaitent, voire sollicitent la mise en place de 3C. Le ou les auteurs de cette enquête ont pris, il faut bien le reconnaître, un grand soin à construire un questionnaire en forme d'entonnoir ou de piège pour parvenir à leurs fins. Par contre, il semble qu'ils aient plus que sous-estimé la perspicacité de leur cible, du moins concernant les professeurs documentalistes qui en ont vu d'autres et qui sont las de voir leur identité professionnelle bafouée et leur mission pédagogique reniée.

Sans attendre les résultats, il est facile de lire ce qu'attendent de nous le ou les auteurs du questionnaire. Au travers des 43 questions posées et des propositions de réponse se dessine en effet la piste de réflexion censée nous conduire vers l'issue souhaitée : une remise en question appuyée des temps d'ouverture des CDI (4 questions) ainsi que la critique des CDI « fermés » et la question des accès (4 questions), l'accent mis sur les ressources (7 questions) et principalement sur le numérique (14 questions, soit un tiers du questionnaire). Le CDI est appelé « centre de ressources » (4 questions) ou 3C (2 questions) tandis que l'on s'interroge sur le nom à lui donner. Il est sans cesse présenté comme un espace appartenant à la vie scolaire, devant être ouvert au maximum, modulable (3 questions), récréatif (3 questions) et devant apporter de l'aide aux élèves (2 questions). Par contre, il n'est à aucun moment saisi comme un espace didactique à mettre en relation avec l'enseignement du professeur documentaliste. La question de la relation que le professeur documentaliste devrait avoir avec le CPE est en revanche fortement rappelée (5 questions). Relevons enfin que le questionnaire est également proposé aux CPE et aux chefs d'établissement, tandis que trois questions mettent en relation ces trois acteurs. Ce questionnaire, très orienté, présente ainsi une vision univoque de la question en cherchant à contenir la réflexion dans l'évidence de l'inéluctabilité du 3C.

Enquête Espaces de vie scolaire DAZ Dessin de DAZ.

Cette vision du 3C, n'en doutons pas, s'inscrit dans l'exacte continuité de la politique documentaire, ou du moins de l'adaptation du concept, issu des bibliothèques, aux établissements scolaires du secondaire, telle que l'avaient affirmé le CNDP et la DESCO (aujourd'hui DGESCO) lors d'un séminaire dédié en mai 2000. Jean-Louis Durpaire, lui-même issu du réseau CNDP, aujourd'hui Canopé, a prolongé le projet de reprise en main des CDI que le réseau avait initié en 2000. Dans le rapport qu'il signa en 2004 – connu sous l'appellation de « rapport Durpaire » - se retrouvent en effet toutes les pistes qui mèneront dans les années à venir à la politique documentaire, au PACIFI, au Protocole d'inspection (2007), au 3C et même à l'EMI. Le fil conducteur reste, de bout en bout, le contre-feux au processus d'identité enseignante engagé par la profession. Le CRDP a toujours besoin d'une antenne – le CDI – et d'un facteur pour acheminer son offre documentaire à bon port (les dernières journées SavoirsCDI l'ont encore bien illustré). Il s'est dès lors agi de retirer le mandat pédagogique attribué aux professeurs documentalistes en le ventilant dans les disciplines (le Pacifi appuyé sur le Socle commun, aujourd'hui l'EMI), d'opérer une centration exclusive sur les ressources, notamment numériques (politique documentaire), de réduire les CDI à un espace de la vie scolaire (objet du présent questionnaire) et de lier étroitement son responsable au CPE et au chef d'établissement (questions 1.3, 1.4, 5.5, 5.6, 6.4) (3C). Sur ce dernier point, il est permis de penser que l'un des buts de cette enquête, en s'adressant simultanément à ces trois catégories de personnel, est de les réunir et de les amener à débattre d'une question rendue commune, forçant le professeur documentaliste à s'impliquer dans un problème de vie scolaire.

Mais au-delà encore de ce projet inlassablement mené pendant 12 années et dont les professeurs documentalistes font encore les frais, pointe une idéologie qui frappe l'école elle-même. Le 3C, tel qu'il est souhaité par certains, se veut à la fois le moyen et le but de la transformation de la forme scolaire. Il s'agit de faire disparaître tout le dispositif d'enseignement traditionnel (disciplines, professeurs, classes, temps scolaire...) de l'école, et d'en laisser la responsabilité au numérique, au travers des possibles ouverts par la connectivité, les intelligences artificielles, les MOOC et les entreprises privées. Simultanément, il s'agira de substituer à cette forme scolaire une structure modulable entièrement dédiée à l'apprentissage autodidacte (learning centre) dans laquelle élèves et enseignants, au travers de relations horizontales et spontanées, développeraient les attitudes et les valeurs du vivre ensemble, de la créativité, de l'innovation et du plaisir, valeurs et compétences censées les adapter aux mutations économiques et sociales de la nouvelle ère. L'établissement se verrait ainsi progressivement résorbé en 3C, toujours « ouvert » puisqu'il serait possible d'apprendre n'importe où n'importe quand, compte tenu que le savoir – confondu avec l'information - est déjà disponible, miniaturisé dans chaque outil nomade au fond de chaque poche. L'outil nomade est désormais l'école, peut-on lire... Cet imaginaire technique est entretenu par des chercheurs pourfendeurs et contempteurs de l'école, qui ont pris à leur compte et développé la thèse de Prensky sur les digital natives, tels Michel Serres, Emmanuel Davidenkoff, Bruno Devauchelle et... François Durpaire. Ce dernier n'a-t-il pas signé, avec Béatrice Mabilon-Bonfils, La fin de l'école, en 2014 ? Y sont décrites les raisons de la fin programmée – et souhaitée – de la forme scolaire que nous connaissons, au profit d'« espaces-à-vivre-le-savoir » où prédominerait la seule relation éducative débarrassée des oripeaux désuets d'un enseignement structuré.

Mais revenons à cette enquête de l'université de Cergy-Pontoise. Nous avons remarqué combien ses auteurs et ses buts étaient discrets, pour ne pas dire absents. Le destinataire de l'enquête, lui, s'il veut en savoir davantage avant de livrer son avis personnel, doit commencer par se donner la peine d'enquêter sur les sources. Il apprend ainsi que le laboratoire EMA travaille sur sept chantiers dont l'un correspond assez précisément à l'enquête : «  Citoyennetés, socialisation et subjectivation ». Il note enfin que, parmi les chercheurs composant l'équipe figurent les deux auteurs de La fin de l'école, Béatrice Mabilon-Bonfils, citée en tête de la page de présentation de l'enquête, et François Durpaire, MCF en Sciences de l'éducation de cette même université, fils de l'ex-inspecteur général Vie scolaire Jean-Louis Durpaire. Une logique d'intérêt commun lui apparaît dès lors, d'autant plus étonnante qu'elle avance masquée : la vision du 3C alimentant la thèse de la fin de l'école tout en s'en faisant l'instrument, le vieux rêve de Jean-Louis Durpaire revivifié par François Durpaire.

Privé des liens avec la DGESCO, il fallait sans doute trouver un autre chemin pour relancer le dossier des 3C et celui-ci a été trouvé dans cette relation proche avec le laboratoire EMA. Il n'en reste pas moins que l'accès aux fichiers des adresses des CDI semble avoir été offert aux chercheurs puisque des IPR Vie scolaire envoient à tous les établissements de leur académie le lien vers l'enquête assorti d'une incitation à y répondre. Les chefs d'établissement, les CPE et les collègues professeurs documentalistes peu informés sont ainsi poussés à croire à une recommandation de leur hiérarchie d'autant plus que certains IPR, comme celui de l'académie de Poitiers peuvent entretenir le doute en confondant François et Jean-Louis Durpaire et en présentant ce dernier comme auteur de l'enquête : « Je vous adresse une enquête concernant les espaces de vie scolaire initié pour J. Louis Durpaire, Inspecteur Général Honoraire et Professeur à l'Université de Cergy Pontoise. Je vous serais reconnaissante d'y consacrer quelques minutes afin d'y apporter des réponses utiles pour la recherche sur les sciences de l'Education. »

En conséquence, et afin de ne pas reproduire la même erreur que celle observée à la parution du livre de Claude Poissenot «  CDI : perceptions et réalités » (2014), nous pensons qu'il est tout simplement, et de loin, préférable de

ne pas répondre à l'enquête « Espaces de vie scolaire / Espace de travail » !

Nous en rappelons ici les principales raisons :

  • une enquête biaisée qui produira les réponses escomptées servant à légitimer une thèse établie a priori ;
  • une enquête dont l'aboutissement constitue une menace pour les professeurs documentalistes, menant à :
    • la dilution du CDI dans la vie scolaire et oblitérant sa fonction d'outil didactique
    • la réduction de la profession à son cadre spatial et à sa fonction d'accueil
    • la démission du professeur documentaliste, en flagrante contradiction avec l'arrêté du 1er juillet 2013 relatif aux « compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation » qui précise pourtant, dans la partie spécifique aux professeurs documentalistes d'intervenir « directement auprès des élèves dans les formations et les activités pédagogiques de leur propre initiative ou selon les besoins exprimés par les professeurs de discipline » (D1) ;
  • une enquête dont les finalités consistent à affaiblir l'école actuelle en ringardisant sa mission d'enseignement et à promouvoir une école fondée sur la prévalence de l'information sur le savoir et celle de la médiation technologique sur la médiation humaine ;
  • une enquête qui force le professeur documentaliste à traiter d'une question de vie scolaire ;
  • une enquête venant de l'université qui utilise les fichiers des inspections académiques pour toucher sa cible et, ce faisant, influencer insidieusement les réponses.

Addendum :

Les messages d'incitation à répondre à l'enquête rassemblés ci-dessous établissent de fait le lien entre François Durpaire et Jean-Louis Durpaire puisque ce dernier, dans différents messages adressés à ses relais dans les académies, déclare « collaborer » à l'étude.

Message initial de Jean-Louis Durpaire adressé le 11 novembre à des jurys du Capes interne dans les académies d'Orléans-Tours et de Strasbourg :

Cher(e)s collègues, Sous l’égide de l ’Université de Cergy-Pontoise, je collabore à une étude sur les espaces de vie scolaire /Espaces de travail. L’enquête en ligne est disponible ici: https://sphinxdeclic.com/d/s/mcfo84 Les destinataires principalement visés sont les CPE et les professeurs documentalistes. Mais d’autres personnels peuvent y répondre, notamment les personnels de direction. Il nous serait très utile qu’un maximum de collègues répondent à ce questionnaire. Pouvez-vous prendre quelques minutes pour y répondre ? Il y a une cinquantaine de questions, mais beaucoup d’entre elles appellent des réponses rapides… sauf si vous voulez en dire plus dans les rubriques libres. Pourriez-vous aussi le diffuser autour de vous en invitant vos collègues à répondre ? Vous noterez que les remontées s’effectuent directement par le web et sont anonymes. La date de réponse est le 31 décembre 2015. Je vous remercie et vous adresse mon meilleur souvenir. Bien cordialement Jean-Louis Durpaire

Message du relais de l'académie de Strasbourg (11-11-2015) :

Bonjour à tous,   En tant que membre du jury du capes interne de documentation, je suis destinataire d'un message de Jean-Louis Durpaire qui procède à une enquête. Il souhaite que le questionnaire soit rempli par le plus grand nombre de professeurs documentalistes et cpe. C'est la raison pour laquelle, je vous copie-colle ci-dessous son message avec un lien vers le questionnaire, en vous invitant à y consacrer quelques minutes pour y répondre.

Message du relais de l'académie d'Orléans-Tours (12-11-2015) : cher-e-s collègues, Monsieur Durpaire, IGEN honoraire me charge de vous transmettre  ce message où il vous sollicite pour participer à une enquête autour des espaces de vie scolaire et les espace de travail des établissements. merci d'y apporter votre attention et votre contribution cette enquête initiée par l'université de Cercy-Pontoise est anonyme.

Dans d'autres académies, comme celle de Poitiers citée dans le texte de notre article, c'est l'IPR EVS qui s'est fait le relais :

Message de l'IPR de l'académie de Créteil (11-11-2015) :

Cher(e)s collègues,  L’Université de Cergy-Pontoise engage une étude sur les espaces de vie scolaire /Espaces de travail. Nous sommes sollicités pour recueillir des avis concernant les sujets abordés. Les vôtres,  compte tenu des métiers que vous exercez,  nous paraissent essentiels.  En conséquence, je remercie ceux qui voudront bien prendre le temps de répondre à ce questionnaire. L’enquête en ligne est disponible ici: https://sphinxdeclic.com/d/s/mcfo84 Les remontées s’effectuent directement par le web et sont  anonymes.  La date limite  de réponse est le 31 décembre 2015.  Merci encore à celles et ceux qui participeront.

Message de l'IPR de l'académie de Lyon (12-11-2015) :

Mesdames et messieurs les enseignant(e)s documentalistes L’Université de Cergy-Pontoise a lancé une étude sur les espaces de travail dans les établissements scolaires. Si vous le souhaitez, vous pouvez contribuer grâce à cette enquête en ligne : https://sphinxdeclic.com/d/s/mcfo84 Les destinataires principalement visés sont les CPE, les professeurs documentalistes et les personnels de direction mais d'autres personnels peuvent y participer. Les réponses s’effectuent directement par le web et sont  anonymes. La date limite  de réponse est le 31 décembre 2015. 

Message de l'IPR de l'académie de Poitiers (13-11-2015) :

Bonjour, Je vous adresse une enquête concernant les espaces de vie scolaire initié pour J. Louis Durpaire, Inspecteur Général Honoraire et Professeur à l'Université de Cergy Pontoise. Je vous serais reconnaissante d'y consacrer quelques minutes afin d'y apporter des réponses utiles pour la recherche sur les sciences de l'Education. Les remontées s’effectuent directement par le web et sont anonymes. Voici le lien : https://sphinxdeclic.com/d/s/mcfo84 A renseigner avant le : 31 décembre 2015. Je vous en remercie.

Message de l'IPR de l'académie de Nice (23-11-2015) :

Chers collègues, bonjour, Sous l’égide de l ’Université de Cergy-Pontoise, une étude sur les espaces de vie scolaire /Espaces de travail est en cours avec la collaboration de l'inspection générale EVS. Dans ce cadre, une enquête est en ligne en direction des professeurs documentalistes et des CPE. Voici le lien : https://sphinxdeclic.com/d/s/mcfo84 Vous noterez que les remontées s’effectuent directement par le web et sont anonymes. La date limite de réponse est le 31 décembre 2015. Je vous remercie de votre participation.

Message de l'IPR de l'académie de Dijon (10-12-2015)

"Nous avons reçu récemment un message de Jean-Louis Durpaire, ex-IGEN Etablissements et vie scolaire. Compte tenu de l'intérêt de l'enquête pour la spécialité Etablissements et vie scolaire, de la garantie scientifique que présente toute recherche universitaire, mais aussi de l'assurance qu'une restitution nous sera faite, nous vous encourageons à participer à cette enquête en ligne à l'aide du lien inclus dans le message."

Dans l'académie de Versailles (19-11-2015), le relais est le chargé de mission pour les solutions documentaires :

Monsieur Durpaire travail actuellement à une étude sur les Espaces de vie scolaire / Espaces de travail sous  l’égide de l ’Université de Cergy-Pontoise. Dans le cadre de ces travaux, il souhaiterait qu'un maximum de professeurs-documentalistes acceptent de répondre à cette enquête : https://sphinxdeclic.com/d/s/mcfo84 Les remontées s’effectuent directement par le web et sont  anonymes. La date limite  de réponse est le 31 décembre 2015. Pouvez-vous relayer dans vos bassins ?


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