Une contribution à l’analyse du phénomène « circulaire de mission » dans l’univers de la documentation

Alors même que « la circulaire de mission » a été un serpent de mer qui a occupé de nombreuses pensées pendant ces dix dernières années, alors même que nous vivions toujours sous la férule de la circulaire de 1986 (rappelez-vous, à cette époque-là, il y avait des floppy disk noirs de 380 kilo octets, oui oui 386ko !!!), la nouvelle circulaire de mission sort… après l’avènement de la « Politique documentaire », après l’avènement du « PACIFI » et après une modification en profondeur des épreuves du CAPES. La circulaire nouvelle est annoncée dans un mode de communication qui laisse perplexe un grand nombre de personnes concernées par ce texte. Quel est le profil de poste dessiné par cette nouvelle circulaire ? Quel sens donner à l’existence même de cette circulaire de mission qui renaît de ses cendres 24 ans après sa sœur aînée ?

D’une part, le contenu de la circulaire dessine un nouveau métier sur lequel il convient de réfléchir. On pouvait s’attendre à ce que cette nouvelle circulaire entérine une situation de fait, voulue, pensée et initiée par le nouveau CAPES de documentation mis en place en 2001 sous l’impulsion de Guy Pouzard, articulant harmonieusement l’usage des TIC avec une véritable composante pédagogique et justifiant pleinement la dénomination de « professeur documentaliste ». Nous verrons qu’il n’en est rien. La circulaire dessine un nouveau profil de professeur documentaliste qui tourne résolument le dos à cette conception. D’autre part, on peut s’intéresser à l’acte de communication que constitue cette circulaire, et y voir la volonté de refuser durablement à l’information-communication le statut de discipline scolaire. Et dans ce cas, la réflexion portera sur le pourquoi de ce refus.

Une modification délibérée du profil de poste

L’analyse du contenu de la circulaire peut s’appuyer tout d’abord sur un relevé des verbes dont l’expression « professeur documentaliste » (ou son substitut pronominal) est sujet.

  • Il contribue, il organise, il est associé, il met en œuvre, il propose, il doit jouer une rôle de conseil, il est responsable , il met à disposition, il favorise, il promeut, il facilite, il participe, il organise, il gère, il anime, il assure

Il apparaît immédiatement qu’un verbe essentiel est absent du répertoire des verbes associés au sujet « professeur documentaliste » : c’est le verbe enseigner! D’ailleurs le verbe enseigner n’apparaît pas du tout dans la circulaire. Si on analyse plus finement le texte, en recherchant les co-occurrences dans la même phrase entre l’expression « professeur documentaliste » (ou son substitut) et les formes fléchies de la racine « enseign* » on obtient le relevé suivant :

« Le professeur documentaliste doit jouer un rôle de conseil pour le choix et l’organisation de l’ensemble des ressources accessibles en ligne pour les élèves et les enseignants de l’établissement. » … « La diffusion des environnements numériques de travail comme la progression des usages du numérique dans tous les enseignements lui confèrent aussi un rôle nouveau, essentiel dans la vie de l’établissement. » … « Elle (la politique documentaire) prend aussi en compte les besoins des enseignants en matière d’actualisation de leurs connaissances disciplinaires et d’enrichissement de leur culture professionnelle. » … « Dans le cadre des ENT, le professeur documentaliste doit jouer un rôle de conseil pour le choix et l’organisation de l’ensemble des ressources accessibles en ligne pour les élèves et les enseignants de l’établissement. » … « Il promeut l’accès des enseignants et des élèves aux ressources numériques. » … « Il peut, en outre, participer à l'organisation, en relation avec les enseignants, de visites, de sorties culturelles et faciliter la venue de conférenciers ou d'intervenants extérieurs. »

L’analyse de ce relevé de co-occurrences appelle trois remarques :

Remarque n°1 : L’identité socioprofessionnelle attribuée au professeur documentaliste (au sens de Claude Dubar1) réside principalement dans sa compétence supposée en matière de TICE.
Le professeur documentaliste « n’enseigne » jamais directement, au sens du modèle taylorien2 des structures des EPLE, mais il « contribue » beaucoup (7 occurrences) grâce à l’usage généralisé des TICE (14 occurrences du mot numérique !) On retrouve ici une idée qui a la vie dure, semble-t-il, dans l’imaginaire des sphères décisionnaires de l’éducation nationale : les TICE seraient une nécessité consubstantielle et providentielle à la vie des établissements. Ce serait le passage obligé pour « moderniser » l’enseignement3. On en voit encore la trace avec la mode et la manne financière récente qui ont fait la fortune des fournisseurs de TBI4. Dans cette approche purement instrumentale, purement machiniste, j’ai déjà eu l’occasion de dire, ici, combien la question des TICE, dans notre système éducatif, me semblait relever d’un moyen détourné d’ouvrir le marché de l’éducation au système marchand5. Car les faits sont têtus, et le silence institutionnel sur les effets de l’usage des TICE dans les pratiques pédagogiques, reste préoccupant. Une chose est sûre… si l’effet était bénéfique (au moins à la hauteur des espérances annoncées…) nous le saurions et la question de leur usage ne justifierait pas les plans d’urgence à répétition que nous voyons fleurir régulièrement. A l’heure où le passage au numérique se révèle être un échec à la BNF, à l’heure où il est très question que Gallica devienne un relais de site commerciaux6, le dossier du numérique se caractérise par des investissements disproportionnés et… beaucoup de salles vides dans les établissements7… et d’énergie et d’argent inutilement gâchés !

Remarque n°2 : Le professeur documentaliste doit assurer une charge de travail « non enseignante » importante A la lecture de la circulaire une simple question quantitative se pose : lorsque le professeur documentaliste aura exécuté tout ce que lui demande de faire la circulaire… quand pourra-t-il enseigner ? Sur quelle base réglementaire ? Comment organiser ces enseignements en dehors d’une négociation de personne à personne avec son chef d’établissement et… l’ensemble des enseignants ? Et… je fais l’hypothèse optimiste que ces missions seront comprises, acceptées, validées par le chef d’établissement et… les « équipes pédagogiques » (voir à ce sujet le texte d’Agnès Montaigne sur le blog8). Tout se passe comme si, au lieu d’affirmer clairement, « le professeur documentaliste n’enseignera pas », l’institution lui donnait une telle charge de travail que le temps disponible (et l’énergie qui va avec) soit impossible à dégager dans l’emploi du temps du professeur pour… enseigner.

Remarque n°3 : Le professeur documentaliste n’est pas autonome Au motif de la nécessité du travail en équipe, il est toujours « en relation avec » ou « sous l’autorité de », « il peut participer ». Pendant longtemps, il était de mise d’expliquer aux futurs enseignants que « l’autorité pédagogique » relevait du corps d’inspection, et l’autorité administrative relevait du chef d’établissement. Ce texte ouvre la voie progressivement à une confusion (au sens propre) entre les deux responsabilités (pédagogique et administrative). En subordonnant toute activité pédagogique à une « collaboration », à une « contribution », à une « organisation », le texte dilue aussi la mission d’enseignement du professeur documentaliste, et… dilue de ce fait, par voie de conséquence, l’autorité pédagogique dont dépend le professeur documentaliste… Il favorise, de fait, un glissement progressif du modèle de gestion de l’EPLE vers un modèle de gestion d’entreprise. Si nous rapprochons ce texte des mesures récentes donnant de plus en plus d’autonomie aux établissements, nous décelons un nouveau profil de chef d’établissement qui serait entouré d’une équipe de collaborateurs, dans lequel le professeur documentaliste deviendrait le gestionnaire d’un service documentaire commun à plusieurs établissements. Le modèle du chef d’entreprise est sous-jacent à cette évolution. Ne nous y trompons pas, la mastérisation à la hussarde que nous vivons actuellement dans les filières de formations d’enseignants se chargera de fournir (servilement ?) tout un lot de vacataires, recrutables par le chef d’établissement, et qui accepteront «d’exécuter» ce que les professeurs documentalistes refusent de faire depuis longtemps : gérer les manuels scolaires, augmenter les horaires d’ouverture pendant la pause méridienne, assurer un CDI/permanence, etc.

Employabilité, flexibilité, souplesse, autonomie, mobilité, sont à présent les mots que l’on voit fleurir dans le discours administratif de l’Education nationale, et l’émergence de ce nouveau lexique n’est pas innocente. Elle concourt à l’acculturation progressive du monde enseignant au modèle de gestion de l’entreprise. Les derniers déboires de la discipline SES peuvent être lus avec cette grille d’analyse, et renforcent le sentiment de l’invasion progressive et généralisée du modèle de fonctionnement de l’entreprise dans le secteur de l’éducation nationale9.
Dès lors, l’usage répété du titre « professeur documentaliste » sonne progressivement creux. Tout se passe comme si le texte utilisait la dénomination de « professeur documentaliste » pour respecter une sorte de bienséance syndicale mais, dans le même temps, la dimension « professeur » est progressivement gommée par la définition des différentes missions et tâches qui sont attribuées au professeur documentaliste, qui n’a plus de professeur… que le nom. La suppression de l’exposé pédagogique dans les nouvelles épreuves écrites du CAPES est à ce titre très éclairante. Elle est renvoyée uniquement aux épreuves orales, ce qui a deux conséquences tout à fait significatives : D’une part, la durée de l’épreuve orale interdit tout développement élaboré de la composante didactique du travail du candidat. D’autre part, elle laisse toute liberté au jury de laisser (ou pas) le candidat aborder cette composante du travail. Il est bien évident que les risques de l’arbitraire de l’oral conduiront les candidats (et leurs formateurs) à bien réfléchir avant d’aborder (ou de conseiller d’aborder) cette composante du travail au moment de l’entretien. Cette circulaire répond, par ses silences, par ses non-dits, à la question lancinante que j’entends à chaque fois que je fais référence à mon travail de formateur : Professeur documentaliste ? Professeur de quoi ? Tout se passe comme si, en vidant progressivement le mot de professeur de son contenu d’enseignement, l’institution visait à régler, par ce biais, la question de la discipline de référence. Et dans cette approche, l’analyse de la circulaire en tant qu’acte de communication peut être très éclairante.

La question lancinante de la discipline de référence…

J’ai réalisé la petite expérience suivante que j’invite le lecteur à réaliser pour confirmer mes résultats : J’ai exécuté sur Google, en mode avancé, les trois requêtes ci-dessous. Dans un premier temps estimez, intuitivement, le résultat de chacune des trois requêtes, avant de vous ruer sur votre moteur favori, puis… confrontez vos estimations à la réalité.

  1. Tous les mots suivants : "circulaire de mission" Aucun des mots suivants : CDI documentation prof-doc doc documentalistes, Date : moins d’un an. Notez le nombre de résultats N1

  2. Tous les mots suivants : "circulaire de mission" documentation Date : moins d’un an Notez le nombre de résultats N2

  3. Tous les mots suivants : "circulaire de mission" Date : moins d’un an Notez le nombre de résultats N3

Allez, jouez le jeu, estimez d’abord (et écrivez votre estimation) puis comparez vos résultats trouvés sur votre ordinateur à vos estimations avant de poursuivre la lecture de ce document10. … Hé oui, ça surprend… Ces résultats étonnants semblent conforter l’idée intuitive suivante : la circulaire de mission est un objet, une chose, propre à la sphère des professeurs documentalistes. Dès lors, il ne paraît pas déraisonnable d’avancer la conjecture suivante : alors que la notion de circulaire de mission est absente des sphères disciplinaires traditionnelles, elle semble être un élément central dans la constitution identitaire du poste de professeur documentaliste. La circulaire de mission jouerait le rôle « d’épine dorsale identitaire » que jouent les programmes dans les sphères disciplinaires. Et la question de la discipline de référence revient alors de façon récurrente. En rédigeant une circulaire de mission propre à l’univers des documentalistes, l’institution écarte durablement, voire définitivement, la perspective d’une création de discipline scolaire en information et communication. Le document PACIFI s’inscrit dans la longue lignée des outils, des ressources, des exemples mis (pathétiquement !) à la disposition des enseignants pour qu’ils utilisent les TICE dans leur pratique pédagogique11… mais… en vain !!! Le parallèle est troublant avec l’usage des TICE qui, de charte en plan d’urgence, en opérations spéciales, en refinancement d’achat des logiciels RIP… n’arrivent pas à pénétrer les établissements scolaires. Dans ce contexte , la circulaire de mission, le document PACIFI, le protocole d’inspection peuvent être analysés comme le signe émergent d’un besoin (désespéré ?) de produire du matériel pédagogique sans que soit jamais abordée la question de la didactique de la discipline de référence et… de sa transposition didactique, et ceci malgré les efforts de la FADBEN qui étudie ces aspects depuis fort longtemps, mais dont les propositions ne semblent guère prises en compte par l’institution. Enfin, si on admet l’existence de cette volonté de dénier aux professeurs documentalistes une discipline de référence (en l’occurrence l’information-communication) on peut aussi avancer une explication liée à une analyse structurelle de la constitution du corps d’inspection. Tout se passe comme si la sphère inspectorale « vie scolaire » tentait de faire exister une discipline putative (la documentation) en utilisant d’autres moyens identitaires que les piliers de la notion de discipline scolaire (modèle taylorien, appuyé sur un programme et sur des modalités d’évaluation, des notes et des coefficients). Comment exister vis à vis des autres corps d’inspection sans instituer une discipline de référence et un processus de transposition didactique ? Comment justifier l’existence d’un corps d’inspection des professeurs documentalistes ? Le maintien de la documentation dans la sphère de la vie scolaire tente de résoudre habilement le problème… sans que personne ne soit dupe.
Le malaise identitaire des professeurs documentalistes déjà abondamment étudié toucherait-il, lui aussi, le corps d’inspection orphelin d’une discipline de référence ?
Finalement, plusieurs explications possibles semblent concourir au fait que l’information communication ne soit pas une discipline scolaire :

  1. Tout se passe comme si l’institution voulait faire l’économie d’une transposition didactique de l’information communication en réduisant son enseignement à des « activités » : B2i, PACIFI, C2I. Et la circulaire entérine cette situation.
  2. Le système scolaire est durablement ossifié dans une organisation taylorienne qui n’a guère changé depuis le lycée de mon adolescence (Fichtre … 1968 … c’est si loin déjà !) : une heure, un prof, une discipline. Cet immobilisme justifie que l’adjonction d’une nouvelle discipline ne pourrait que déstructurer les établissements et la représentation que les sphères décisionnaires ont connaissance de ce que doit savoir l’honnête homme. Et la circulaire entérine cette situation !
  3. A tous les niveaux de l’administration de l’éducation nationale, le modèle « France Télécom » fait des ravages, réductions drastiques des effectifs, des moyens financiers… précarisation institutionnelle, à tous les niveaux, la souffrance du corps enseignant (dont la maltraitance que subissent les professeurs fonctionnaires stagiaires est le dernier avatar) s’accompagne d’une crispation sur les positions de chacun dans ses avantages acquis : dans les établissements ou dans les couloirs du rectorat ou du ministère, les réactions des tenants des disciplines traditionnelles se révèlent être identiques dès qu’on aborde l’éventualité d’une nouvelle discipline enseignée : « on va encore nous retirer des heures ». Retirer des heures constitue une atteinte narcissique à la valeur éducative de la discipline, et donc à l’identité socioprofessionnelle des enseignants qui sont chargés de cette discipline.

Conclusion

La circulaire peut ainsi être analysée selon deux approches : · Soit on se centre sur son contenu, et on y perçoit la profonde modification de profil de poste qu’elle induit pour le professeur documentaliste. Dans cette approche, les idées et les concepts véhiculés par la circulaire préparent à bas bruit la modification de structure de l’EPLE qui passerait du modèle du service public antérieur au modèle de l’entreprise dans lequel le professeur documentaliste deviendrait un gestionnaire d’un système d’information assisté de vacataires recrutés par les chefs d’établissements. On a relevé que, de ce point de vue, de nombreuses modifications sont en cours concourant toutes aux mêmes objectifs : un établissement/entreprise dirigé par un chef d’établissement/chef d’entreprise, avec des objectifs, des quotas, des rendements, et… une gestion de type « entreprise » des personnels. · Soit on se centre sur la signification du phénomène que constitue l’existence même d’une circulaire réservée à la sphère de la documentation en tant qu’acte de communication12. On voit dans ce phénomène de communication une manifestation patente de la volonté de ne pas créer une discipline d’information-communication comme discipline scolaire. De ce fait, l’existence même de cette circulaire de mission (étayée par PACIFI) inscrit dans la durée la volonté de réduire la discipline information-communication à une série de savoir-faire contributifs au service des autres disciplines considérées elles-mêmes comme intouchables et garantes d’une culture noble, voire d’une culture d’élite. Dans cette approche, c’est le cercle familial qui aurait la responsabilité de donner à ses héritiers ( Bourdieu, quand tu nous tiens !) les moyens conceptuels de traiter sereinement le déluge informationnel. Dans cette approche, l’existence de la circulaire de mission signifie clairement que les savoir-faire sont à l’école, et les concepts savants dans le milieu familial.

Au moins, cette circulaire a l’avantage de mettre en lumière la position de l’institution : les choses sont claires, personne ne pourra dire, plus tard, qu’il n’avait pas vu venir le problème. En 2012, la question du rôle et du modèle de l’école devra clairement être posée, évoquée, et examinée, avant que chacun dépose son bulletin dans l’urne. Veut-on d’une école au service d’un néo-libéralisme triomphant qui glorifie le pouvoir du meilleur, et autres « pôles d’excellence » qui fleurissent dans le discours sur la recherche à l’université et dont l’EPLE risque de devenir un outil d’acculturation à un modèle entrepreneurial de société ? Veut-on mettre un frein à cette évolution en ayant l’espoir ( ?) qu’une nouvelle organisation de l’école est possible pour qu’elle revienne à ses valeurs initiales de réduction des inégalités sociales ?

Il me semble que, dans ce domaine, tous les enseignants (et pas seulement les professeurs documentalistes) ne pourront plus faire longtemps l’économie de cette réflexion qui dépasse largement le cadre de l’école, et qui risque, à terme, de toucher toutes les disciplines. Il s’agit bien du problème du modèle d’établissement dans lequel les élèves et les enseignants vont évoluer, et partant, du modèle de société auquel l’école, son mode de fonctionnement, sa structure, les aura acculturés.


  1. Dubar Claude. La socialisation : Construction des identités sociales et professionnelles. Armand Colin, 2002 

  2. Un prof, une heure, un groupe classe, une salle et chacun sait ce qu’il doit y faire ! 

  3. Il faudra un jour que quelqu’un fasse un travail sur le sens exact de cette expression fourre tout « moderniser l’enseignement ». Il semble que la fascination du modernisme du XIXème siècle soit encore de mise. 

  4. Tableau Blanc interactif (attention l’interactivité est essentielle !!!) 

  5. NDLR : Lire Bazin Jean-Michel. TIC : un marché convoité par les fournisseurs de services informatiques. Les Trois couronnes, 2008. 

  6. Communiqué de la SNU BNF du 4 Mars 2011 : « Accord cadre sur les livres épuisés : des personnels de la BNF prennent position contre un marché de dupes » 

  7. Quand aura-t-on le courage de faire une étude statistique quantitative et qualitative vérifiable portant sur les taux d’occupation des salles informatiques dans les lycées et collèges, et sur les usages « autres que la recherche d’information » ? 

  8. NDLR : Lire Montaigne Agnès. Lettre ouverte à notre inspection générale sur le projet de circulaire de mission. Les Trois couronnes, 2011. 

  9. http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/280211/nous-refusons-la-liquidation-des-sciences-econo 

  10. Le 25 février 2011, j’ai trouvé N1 = 13, N2=408 et N3= 413. 

  11. Il y a déjà fort longtemps (en temps de mode informatique) fleurissaient les logiciels "reconnus d'intérêts pédagogiques"… 

  12. “The medium is the message and the message is massage”, comme l’écrivait McLuhan.