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DUPLESSIS Pascal. La fiche-concept en didactique de l’Information-documentation : outil d’acculturation professionnelle, support pour la construction des connaissances ? Colloque international de l’ERTé, “L’Education à la culture informationnelle”, Lille, 16-17-18 octobre 2008. Presses de l’ENSSIB, 2010. p. 258-270

http://lestroiscouronnes.esmeree.fr/didactique-information/la-fiche-concept-en-didactique-de-l-information-documentation

La fiche-concept en didactique de l’Information-documentation : outil d’acculturation professionnelle, support pour la construction des connaissances ?

Fenêtre numérique. Jean-Marie Palacios, 2005. CC. lien

La fiche-concept, outil didactique apparu au début des années 90 et véritable moteur de l’innovation en Sciences économiques et sociales, offre une modalité de présentation des connaissances relatives à un concept. Sa conformation synthétique permet de fixer avec une certaine économie de moyens les différentes composantes structurelles, contextuelles et didactiques d’un concept donné. Des travaux divers, déjà engagés, gagneraient à être confrontés et mis à l’épreuve de cet outil dont l’un des avantages est encore de construire des passerelles entre la recherche et le terrain. En admettant que la transposition soit possible dans le champ disciplinaire de l’information documentation, la profession trouverait là les bases didactiques qui lui manquent encore pour élaborer et conduire les séquences d’enseignement-apprentissage. Les élèves, quant à eux, disposeraient d’un support de travail facilitant l’auto-structuration des connaissances.

Introduction

Le constat de l’indigence de l’enseignement info-documentaire dans le second degré en France révèle un écart important entre les discours et les attentes portant sur les enjeux démocratiques, économiques et scientifiques d’une part, et la réalité administrée et vécue sur le terrain scolaire d’autre part.

Trois raisons génériques nous semblent devoir rendre compte de cet état de fait, concourant à la délégitimation des apports et des vecteurs de la formation info-documentaire. La première est d’ordre sociétal, et se manifeste par l’absence d’une évaluation attestative (brevet des collèges, baccalauréat) à l’articulation de l’école et de la société, témoignant de la non reconnaissance par celle-ci, via l’institution idoine, de la valeur fonctionnelle et axiologique de cet enseignement.

La deuxième est d’ordre épistémologique et renvoie au statut des savoirs info-documentaires, lesquels sont enfermés dans une approche transversale où les connaissances déclaratives se dégagent difficilement d’une condition de savoirs proto-didactiques, i.e. ni enseignés ni même perçus [Chevallard, 1991].

La troisième revêt une dimension socio-professionnelle où l’on observe que le processus de professionnalisation est endigué de l’intérieur même de la profession par deux obstacles importants dont il convient de prendre la juste mesure. D’une part, des représentations obsolètes accrochées au mythe fondateur de la profession, ancré dans le combat qu’a livré l’Education nouvelle à l’école traditionnelle, empêchent les professeurs documentalistes de se penser concrètement comme enseignants et d’en assumer les principales caractéristiques, comme l’évaluation [Duplessis, 2008]. D’autre part, la méconnaissance des fondements scientifiques et didactiques du domaine constitue une barrière difficile à franchir pour qui souhaite effectivement enseigner. Les raisons de cet état de fait relèvent tout autant de l’insuffisance de la formation continue que de la pauvreté de l’offre didactique, dans la mesure où la recherche en ce domaine a pris un sérieux retard.

Cette absence de légitimation a pour corollaire un déficit de la « valeur Information-documentation » lorsque ni les contenus, ni les apprentissages ni les enseignants qui pourraient les dispenser ne pèsent lourd dans la hiérarchie des savoirs scolaires. Nous postulons que la construction de cette valeur ne peut se réaliser qu’à partir de la constitution raisonnée de savoirs à enseigner. A ce titre, l’émergence d’une didactique de l’information autorise quelques espoirs. Elle se développe aujourd’hui au travers, notamment, de trois approches complémentaires :

  1. l’inventaire des structures cognitives d’accueil des apprenants et des conceptions qui font obstacle au progrès de l’appropriation des connaissances,

  2. l’élaboration de savoirs potentiellement enseignables à partir de l’analyse des domaines savants, professionnels et domestiques,

  3. l’examen des stratégies d’interaction didactique les plus appropriées pour une mise en scène réussie des savoirs scolaires.

Si l’élaboration de contenus enseignables est aujourd’hui en bonne voie, il reste cependant à traiter de manière concomitante les deux autres niveaux curriculaires relatifs au travail de l’enseignant et au travail de l’apprenant.

L’objet de cette contribution est de proposer et de critiquer un outil didactique, la fiche concept, susceptible à la fois de présenter l’état des lieux de la recherche, de fournir aux enseignants les apports scientifiques et didactiques dont ils ont besoin pour concevoir leurs séquences et, enfin, de mettre à disposition des élèves un support leur permettant de construire la matière conceptuelle.

1. Présentation de la fiche concept en Sciences économiques et sociales

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La fiche-concept est apparue en 1993 dans la discipline des Sciences économiques et sociales (S.E.S.) où elle a été présentée comme un moteur de l’innovation. Un groupe national de travail sur les objectifs de référence en classe de Seconde, piloté alors par la direction des lycées et collèges, a fait une large part à ce nouvel outil didactique dans le cadre de ses préconisations [M.E.N., 1993]. Depuis, de nombreuses publications (essais, manuels, articles, mutualisation d’enseignants) lui ont assuré un large écho, faisant de la fiche concept une marque des S.E.S. Ces objectifs de référence distinguent les connaissances procédurales (analyser des informations) des connaissances déclaratives (maîtriser des connaissances). La maîtrise des connaissances regroupe cinq items dont le premier, la maîtrise des concepts, s’appuie directement sur la fiche concept. Il se décompose de la sorte :

. formuler une définition du concept

. le distinguer d’un autre

. le reconnaître dans un texte

. l’utiliser à bon escient

. le relier à d’autres concepts

. le situer dans un ou plusieurs champs théoriques

. le distinguer de son instrument de mesure

La fiche concept est définie comme « une modalité de présentation des connaissances relatives à un concept. Elle réunit de façon organisée les différents éléments d’un savoir et aide à définir les objectifs à atteindre par les élèves dans un domaine précis » [Id.]. Elle se présente sur une page ou une double page rassemblant des éléments essentiels de manière synoptique. Sa conformation synthétique permet en effet de fixer avec une certaine économie de moyens les différentes composantes d’un concept:

  • les composantes structurelles : caractéristiques du concept, sa situation dans le champ, son inscription dans une trame conceptuelle ;

  • les composantes contextuelles : registre d’utilisation, pratiques sociales de référence (P. S. R.) ;

  • les composantes didactiques : les obstacles psycho-cognitifs, les niveaux de formulation, l’évaluation.

Les nombreuses productions disponibles dans la littérature montrent ainsi un découpage en moins de dix rubriques, dont les intentions varient peu : dénomination du concept, éléments constitutifs (les attributs), formulation synthétique, exemples et contre-exemples, sous-notions, notions liées, instruments de mesure, utilisation de la notion, autres éléments « à retenir ».

La fiche concept, en S.E.S., est présentée comme un outil essentiellement destiné à l’élève, l’invitant ou bien à saisir ce qu’il comprend lors de la séquence, ou bien à récapituler l’essentiel du cours à l’issue de celui-ci. Dans le premier cas, c’est un support appréciable pour l’évaluation formative, dans le second, c’est un outil favorisant le travail de synthèse et de renforcement.

L’enjeu éducatif de la fiche concept se rapporte principalement à l’autonomisation de l’élève, qui apprend ainsi à apprendre par l’auto-structuration des connaissances. L’enjeu didactique concerne la construction de ces dernières, au moyen d’opérations de synthèse, d’articulations entre les concepts, de contextualisation et de reformulations successives.

Le texte du groupe national prévient cependant du nombre de fiches que peuvent élaborer les élèves dans une année, nombre ne devant pas excéder dix. Tous les concepts, selon cet avis, ne sont d’ailleurs pas destinés à faire l’objet d’une fiche, et il convient alors de privilégier les quelques concepts intégrateurs de la discipline, i.e. « ceux qui occupent une position clé dans un champ du savoir » [Id.].

Enfin, signalons que les concepteurs se réfèrent aux travaux de Britt-Mary Barth [1987, 1993] quant à la définition d’un concept au moyen de son étiquette, de ses attributs et de son illustration (exemples et contre-exemples). La référence à la démarche inductive de la pédagogue est cependant évitée, compte-tenu du contexte de rénovation de la discipline et de son questionnement critique sur l’inductivisme présent à ses origines. Il n’en reste pas moins que les présupposés de cette réflexion s’adossent à la théorie constructiviste. Si le produit de l’apprentissage semble réduit à l’appropriation de concepts, il s’agit cependant de concepts de type opératoire, c'est-à-dire capables de résoudre certaines familles de problèmes dans des contextes appréciés.

2. Proposition de transposition de la fiche concept en didactique de l’information

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Si les épistémologies des S.E.S. et de l’info-documentation se rencontrent en certains points essentiels (date et contexte d’apparition du champ, réaction aux disciplines traditionnelles, légitimité fragile, multi-référentialité, connaissances procédurales, construction de la pensée critique), leur didactique gagnerait à être également rapprochée, même si la première est nettement en avance sur la seconde. S’agissant de l’outil fiche concept, une transposition dans le champ de l’information est-elle possible et à quelles conditions ?

Compte-tenu des besoins en formation scientifique et didactique de la profession, la fiche concept pourrait constituer un outil précieux pour l’enseignant documentaliste, en plus de fournir un support d’apprentissage à l’élève. Ainsi la réception de l’outil en Information-documentation pourrait avoir pour particularité d’offrir deux versions complémentaires, une « fiche concept élève » et une « fiche concept professeur ».

2.1. La « fiche concept élève »

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La « fiche concept élève », à peu de chose près, peut emprunter à l’exemple des S.E.S., moyennant quelques ajustements, telle la suppression de la rubrique « instruments de mesure ». Les rubriques suivantes pourront être renseignées par les élèves (voir annexe) :

. Caractéristiques : les éléments constitutifs du concept permettant sa discrimination

. Illustration : l’élève produit des exemples comprenant toutes les caractéristiques essentielles, et des contre-exemples où manquent certaines d’entre elles

. Formulation : l’énoncé langagier produit par l’élève permet d’évaluer son niveau de conceptualisation

. Relations : les sous-notions décomposent le concept étudié, tandis que les notions liées font apparaître les articulations avec d’autres entités du champ conceptuel

. Représentation : expression graphique du réseau conceptuel dans lequel s’inscrit le concept avec la verbalisation des liens unissant les concepts entre eux

. Utilisation : contexte d’utilisation du concept dans les situations professionnelles, scientifiques ou domestiques

. Intérêt : les problèmes que la maîtrise du concept permet de résoudre, ses enjeux

. Références : des documents favorisant une étude plus approfondie ou servant d’illustration

Les exigences, notamment le niveau de formulation attendu, dépendront bien évidemment des niveaux des élèves, de la situation d’apprentissage et du temps qui lui est consacré. La séquence peut se dérouler sur plusieurs périodes, tout en sachant que la construction du concept se développe de manière continuée.

2.2 La « fiche concept professeur »

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La « fiche concept professeur », quant à elle, répond à plusieurs attentes complémentaires et urgentes. Elle doit être tout d’abord un outil d’acculturation de la profession, permettant de palier les déficits de formation initiale de personnels issus de cursus souvent étrangers aux S.I.C. et, par conséquent, d’assurer une cohésion identitaire en termes de référents épistémologiques et didactiques, de terminologie et d’objectifs.

Elle doit ensuite se faire le support actualisé des recherches en didactique de l’information, stabilisant et mettant à disposition un corpus de référence des savoirs à enseigner. Dans ce même ordre d’idée, elle a pour vocation d’épauler le professeur dans l’analyse et la compréhension des connaissances actuelles de l’Information-documentation, pointant vers des données historiques, philosophiques, psychologiques et sociologiques nécessaires à la détermination des enjeux et à la didactisation des concepts et des principes relatifs aux usages, aux processus et aux outils.

La fiche concept a enfin pour intérêt d’ancrer doublement les apprentissages info-documentaires. Pour que les savoirs visés soient opératoires, il leur faut d’une part être en prise avec l’actualité des phénomènes observables et des problématiques contemporaines, et d’autre part s’articuler aux autres disciplines au travers de leur besoin d’accès, de traitement et de critique de l’information documentaire, lorsque celle-ci est mobilisée pour la construction des connaissances.

La publication par la Fadben [2007] de fiches analytiques de sept concepts intégrateurs du domaine constitue une première ébauche qui devra être prolongée par les premiers résultats de la recherche en didactique de l’information :

1- Sur le plan de l’élaboration du corpus conceptuel et de l’analyse des constituants :

  • la définition des concepts1

  • la structuration interne du champ2

  • la situation des concepts en réseaux3

2- Sur le plan de l’appropriation des savoirs par les élèves :

  • le repérage des conceptions des élèves au travers des questionnaires-diagnostics4 et des évaluations5

  • les niveaux de formulation6

3- Sur le plan de l’ingénierie didactique et des interactions maître-élèves :

  • la définition des objectifs articulant les concepts aux connaissances procédurales7

  • la mise en œuvre de situations d’apprentissage8

  • l’évaluation des élèves9

Ces premières ressources pourraient ainsi aider à renseigner la « fiche concept professeur » à partir des rubriques suivantes (voir annexe) :

. la composante structurelle :

  • caractérisation

  • formulation

  • illustration

  • situation dans le champ conceptuel

  • représentation cartographique

. la composante contextuelle :

  • contexte d’utilisation (P.S.R.)

  • problématisation (intérêt, causalité et enjeux)

. la composante didactique :

  • typologie des conceptions des élèves et des obstacles

  • didactisation : choix des objectifs obstacles

  • articulation aux compétences info-documentaires

  • articulation aux programmes disciplinaires

3. Discussion

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La principale critique à adresser à la fiche concept est de centrer sur une approche conceptuelle de l’apprentissage. Cela est vrai si on la réduit à sa composante structurelle, mais cela est infirmé si l’enseignant développe au contraire les deux autres composantes, et notamment celle relative à la contextualisation du concept, à sa réception dans les pratiques sociales de l’information et à la réflexion critique qu’elle ouvre sur les enjeux économiques, sociaux ou éthiques. Cette dimension doit être irriguée par les recherches concomitantes relatives à la culture de l’information.

Par ailleurs, travailler la présentation aux élèves du concept de manière à ce que ce dernier apparaisse comme une solution à des problèmes informationnels qui lui sont posés permet l’accès au sens opératoire des concepts.

La « fiche concept élève », de par son aspect formaté, risque d’être perçue comme le produit final de l’apprentissage, alors qu’elle n’a d’intérêt que si elle en constitue l’un des supports privilégiés, pouvant être inscrit par exemple dans le carnet de bord de l’élève.

Si elle a vocation à recueillir les informations que celui-ci glane en cours et au fil de ses activités avant d’en faire la synthèse, encore faut-il mettre en lumière les conditions optimales requises pour conduire de cette opération de renseignement à la construction des savoirs visés.

La « fiche concept professeur », enfin, court le risque bien connu d’une cristallisation en « fiche recette » par une partie demandeuse de la profession. Cela pourrait être évité si elle est renseignée par le professeur lorsque, préparant chaque séquence pédagogique, il fait œuvre de transposition didactique interne en articulant les savoirs scolaires de référence, les champs d’application sociale des concepts ciblés et les niveaux d’appropriations analysés de sa classe.

Sans ces quelques précautions, la fiche concept pourrait bien devenir une fausse bonne idée.

Conclusion

Tout en fournissant à la profession un outil épistémologique et didactique capable de l’aider dans sa mission pédagogique de formation des élèves, la fiche concept pourrait bien devenir un instrument praxéologique dans la mesure où elle favorise l’articulation entre la recherche et le terrain, et amène le maître à penser son action pour rendre celle-ci plus efficace.

Empreinte de la démarche constructiviste, la fiche concept contribue tout naturellement à l’édification du curriculum informationnel dans la mesure où elle devient un marqueur de la progression des apprentissages, où elle s’articule à l’évaluation et où elle offre des repères didactiques à la préparation des situations d’enseignement-apprentissage. Cette contribution possible à la mise en œuvre des savoirs scolaires participe ainsi de la nécessaire valorisation des contenus des formations à l’information-documentation.

Bibliographie

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  • Ballarini-Santonocito Ivana. Un exemple de mise en œuvre : construire la notion de Document en classe de 6ème [en ligne]. In Les savoirs scolaires en information documentation : des outils didactiques pour la mise en œuvre des apprentissages en Documentation. Nantes, Académie de Nantes, 2007. p. 16-19. http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/1194018284375/0/fiche___ressourcepedagogique/&RH=1204811512203

  • Barth Britt-Mari. L’apprentissage de l’abstraction. Retz, 1987. 192 p.

  • Barth Britt-Mari. Le savoir en construction : Former à une pédagogie de la compréhension. Retz, 1993. 208 p.

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  • Chevallard Yves. La Transposition didactique : du savoir savant au savoir enseigné. La Pensée sauvage, 1991

  • Clouet Nicole et Montaigne Agnès. L’information et le document en trois concepts intégrateurs [en ligne]. Rouen, Formdoc, 2006. http://formdoc.rouen.iufm.fr/spip.php?article286

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  • Duplessis Pascal. De l’évaluation des acquis à l’élaboration des savoirs info-documentaires : Le cas des questionnaires-diagnostics dans une approche de type bottom-up [en ligne]. ARDEP Bretagne, 2008. http://ardep-bretagne.org/spip.php?article183

  • Duplessis Pascal. Petit lexique de 50 concept info-documentaires [en ligne]. Angers, Les trois couronnes, 2008. http://esmeree.fr/lestroiscouronnes/idoc/outils/petit-lexique-de-50-concepts-info-documentaires

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  • Duplessis Pascal et al. Banque d’énoncés langagiers d’élèves relevés dans les évaluations en Information-documentation [en ligne]. Angers, Les trois couronnes, juin 2008. http://esmeree.fr/lestroiscouronnes/idoc/chantiers/banque-d-enonces-langagiers-d-eleves-de-la-6eme-a-la-terminale

  • Duplessis Pascal et Ballarini-Santonocito Ivana. Petit dictionnaire des concepts info-documentaires : Approche didactique à l’usage des enseignants documentalistes [en ligne]. SavoirsCDI, 2007. http://savoirscdi.cndp.fr/culturepro/actualisation/Duplessis/dicoduplessis.htm

  • Duplessis Pascal et Ballarini-Santonocito Ivana (Dir.). Cartographie conceptuelle et didactique de l’information : dix cartes de concepts info-documentaires et étude préliminaire. Nantes, Académie de Nantes, 2007. http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/1177924054937/0/fiche___ressourcepedagogique/&RH=DOC

  • FADBEN. Les savoirs scolaires en information documentation : 7 notions organisatrices. Médiadoc, mars 2007

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  • Montaigne Agnès. Concepts info-documentaires [en ligne]. Rouen, Formdoc, 2006. http://formdoc.rouen.iufm.fr/spip.php?rubrique83


  1. Académie de Rouen, 2007 ; Duplessis et Ballarini-Santonocito, 2007 ; FADBEN, 2007 ; Duplessis, 2008-c 

  2. Clouet et Montaigne, 2006 ; Duplessis et al., 2006 ; FADBEN, 2007 

  3. Duplessis et Ballarini-Santonocito (Dir.), 2007 

  4. Duplessis, 2008-b 

  5. Duplessis et al., 2008 

  6. Montaigne, 2006 ; IUFM de Rouen, 2006 

  7. Par exemple : Casaert et Stalder, 2008 

  8. Ballarini-Santonocito, 2007 

  9. Duplessis, 2008-d 


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